L'argile des deux détenus politiques marocains dans la Prison Toulal à Meknes , Hassan KOUKOU et Mounir KHAFOU, alerte l'opinion publique sur la situation et le destin des centres pénitenciers du
régime et que ce dernier par convention de privatisation et par motif des prisons institutions non rentables, et par mobile encore du projet du nouveau code pénal, le Holding royal à travers .ses filiales prétend rentabiliser le secteur de la détention à commencer par sa cantine
Une vraie manne pour les entreprises privées dont la famille royale est actionnaire.
Selon les informations des milieux des détenus, une opération de privatisation des services de cantine dans les prisons a eu lieu.
Dorénavant les détenus doivent payer pour manger, 24 DH par repas, ce qui revient à dire 1,5 milliard de Dirhams par ans dans les poches des actionnaires des entreprises privés. Solution à la main: baisser les quantités déjà de fortune des rations alimentaires qui échappent depuis longtemps à tout contrôle public, financier et sanitaire. A savoir: la chaine alimentaire de la cantine pénitentiaire est contrôlée par des mafias comportant des personnalités publiques. Et puisque dans notre pays aucune distinction de fait entre les personnes publiques et privées dans les domaines économiques n'est réelle, l'appétit de s'enrichir mène toute personne publique à profiter de son statut de ses pouvoirs autant qu'elle peut «on ne sait jamais de quoi est fait l'avenir» comme dit le proverbe dans ces milieux de ces personnalités «marocaines», réseau à l'appui pour échapper aux yeux jaloux..
Hassan KOUKOU et Mounir Ait Khafou, deux détenus politiques à Meknes nous disent dans leur article ci-dessous qu'une grève spontanée des prisonniers a eu lieu. Réponse de la direction pénitentiaire: Intervention des forces de l'ordre et milices des tortionnaires pour mater la contestation des prisonniers.
28 Avril 2015
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